Une nouvelle théorie de conscience : l’esprit existe comme une matière connectée au cerveau

Entre la physique quantique et la neuroscience, une théorie émerge sur un champ mental que nous possédons tous, existant dans une autre dimension et se comportant d’une certaine manière comme un trou noir.

Fractale

Article Epoch Time de Tara Maclaas traduit par Bérangère Caps ( 16/10/2017)

La relation entre l’esprit et le cerveau est un mystère qui reste central sur le comment nous comprenons notre existence en tant qu’êtres conscients. Certains disent que l’esprit est strictement une fonction du cerveaula conscience serait le produit des transmissions neuronales. Mais certains s’évertuent à comprendre scientifiquement l’existence d’un esprit indépendant ou, du moins, séparé à un certain degré du cerveau.

L’évaluation par les pairs du journal scientifique NeuroQuantology rassemble la neuroscience et la physique quantiqueune interface que certains scientifiques ont l’habitude d’explorer ; cette relation fondamentale entre l’esprit et le cerveau.

Un article publié dans l’édition de septembre 2017 de NeuroQuantology va au-delà des théories courantes de la conscience qui émergent de cette rencontre entre neuroscience et physique quantique.

Dr. Dirk Meijer (Courtesy of Dr. Dirk Meijer)

Dr. Dirk K.F. Meijer, un professeur de l’Université de Groningen en Hollande , soumet l’hypothèse que la conscience réside dans un champ entourant le cerveau. Ce champ est dans une autre dimension. Il partage des informations avec le cerveau au travers un enchevêtrement quantique / intrication quantique* parmi d’autres méthodes. Et il a certaines similarités avec le trou noir. (*En mécanique quantique, l’intrication quantique, ou enchevêtrement quantique.)

Ce champ peut être capable de prendre des informations du champ magnétique de la terre, de l’énergie sombre et d’autres sources. Il « transmet des ondes d’informations vers le tissu cérébral, qui est un instrument à haute vitesse de traitement d’information du conscient et du subconscient » écrit Dirk.

En d’autres termes, l’ « esprit » est un champ qui existe autour du cerveau ; il prend les informations de lextérieur du cerveau et les communique vers le cerveau par un traitement extrêmement rapide.

Il décrit ce champ alternatif comme «  un champ holographique structuré », «  un espace de travail du mental réceptif » et «l’espace de mémoire globale de l’individu » 

Les fonctions extrêmement rapides du cerveau suggèrent qu’il traite l’information au travers d’un mécanisme encore non révélé.

Hypnoart

Il y a un mystère insoluble en neuroscience appelé le «  problème de liaison » ( « binding problem »). Différentes parties du cerveau sont responsables de différentes fonctions : certaines parties travaillent sur le traitement de la couleur, d’autres sur le traitement du son, etc…Mais, d’une manière ou d’une autre, tout s’unit en tant que perception unifiée ou conscience.

L’information s’unit et interagit dans le cerveau plus rapidement qu’on ne peut l’expliquer par nos propres capacités de compréhensions des transmissions neuronales dans le cerveau. Il semble donc que l’esprit est plus qu’une simple transmission neuronale dans le cerveau.

Les neuroscientifiques sont toujours en train de chercher un mécanisme pour cette «  liaison » ( binding) des parties disparates du traitement de l’information du cerveau. Meijer s’est tourné ver l’ intrication quantique et l’effet tunnel pour obtenir une partie de la réponse.

L’intrication quantique est un phénomène par lequel des particules apparaissent pour être connectées sur de vastes étendues. L’intrication quantique, ou enchevêtrement quantique, est un phénomène dans lequel deux particules (ou groupes de particules) ont des états quantiques dépendant l’un de l’autre quelle que soit la distance qui les sépare. Lorsque des action sont effectuées sur une des particules , des changements correspondant ont été observés sur les autres simultanément.

L’effet tunnel (tunneling) est un phénomène dans lequel une particule tourne au travers d’une barrière ce qui est impossible de réaliser en physique classique. Si l’on représente par un diagramme l’énergie potentielle d’une particule, comme un électron lié dans un atome ou une particule alpha dans un noyau, celle-ci apparaît comme une colline s’élevant puis diminuant de hauteur en fonction de la distance séparant la particule de son centre d’attraction dans le système considéré. En physique classique, si l’énergie cinétique d’une particule est inférieure à l’énergie potentielle de liaison, elle ne pourra pas s’échapper. Il n’en est pas de même dans le monde magique de la mécanique quantique une particule, même avec une énergie cinétique insuffisante, peut s’échapper d’un système comme s’il existait un tunnel à travers la colline d’énergie potentielle faisant obstacle. C’est une conséquence directe de la nature probabiliste de l’onde associée à l’évolution d’une particule quantique.

Ces phénomènes quantiques permettent un traitement si rapide de l’information qu’ils ne peuvent pas être expliqué par la physique classique. C’est pourquoi ils permettent d’ expliquer les traitements ultra rapides du subconscient.

Les principes de la physique quantique pourrait expliquer comment l’esprit traite l’information.

Si le champ de l’ « esprit » ou du mental pouvait interagir avec le cerveau de cette façon, cela pourrait être une étape vers l’explication de la rapidité des traitements du mental.

Meijer utilise aussi la dualité onde-corpuscule en physique quantique pour expliquer la relation entre le champ du mental et le cerveau. Essentiellement, ce principe repose sur le fait que les électrons et les photons existent sous forme d’ondes et sous forme de particules. D’une certaine manière, ils sont tous deux ondes et particules.

De même, Meijer disait que le champ du mental est aussi bien non-matière qu’une partie physique du cerveau : «  L’espace de travail du mental suggéré est estimé comme étant non-matière, mais en relation avec le cerveau de l’individu , il se conçoit comme une non dualité onde-corpuscule en rapport avec les principes de la physique quantique . C’est à dire qu’il est directement dépendant de la physiologie du cerveau mais n’y est pas pour autant réduit. »

L’esprit et le cerveau, selon Meijer, sont connectés. Ils sont unifiés cependant séparés. Un tel paradoxe manifeste est caractéristique de la physique quantique.

L’esprit pourrait résider dans une autre dimension spatiale.

Les autres dimensions selon la théorie des cordes

Meijer émet l’hypothèse / suppose que le champ mental est dans une autre dimension : « Que nous ne puissions pas directement percevoir cet aspect de l’ information est traditionnellement dû à la 4ème dimension de l’espace cachée…laquelle ne peut pas être observée dans notre monde 3-D mais peut être obtenue mathématiquement . »

Il clarifia que cette 4ème dimension spatiale n’est pas le temps ( le temps est communément décrit comme la « 4ème  dimension »). Mais plutôt, cela est un concept d’espace-temps qui inclus 4 dimensions spatiales plus le temps ( une « structure espace-temps 4+1 »).

Il cita des études qui avaient suggéré que ce concept des dimensions pourrait réconcilier les décalages entre la physique traditionnelle et la physique quantique qui tourmentent les scientifiques aujourd’hui.

L’esprit existerait dans la 4ème dimension spatiale.

L’esprit pourrait être un trou noir.

Black hole

Meijer conçoit une sorte d’écran ou une frontière entre le monde extérieur et le champ mental de l’individu. Il relie cette frontière à l’horizon des événements d’un trou noir.

« Il est présumé que l’information entrant dans le trou noir depuis l’extérieur n’est pas perdue mais plutôt qu’ elle a été projetée sur son écran extérieur, appelé «  l’horizon des événements » écrit Meijer.

« La conscience est un état frontière entre une singularité ( trou noir) et l’espace à l’intérieur du cerveau. » L’horizon des événements sépare «  un modèle mental de réalité pour une utilisation interne de chaque individu » de tout ce qui existe à l’extérieur de celui-ci. Cependant il est connecté à l’ « information universelle de la matrice ».

La structure hypothétique du champ mental aurait la forme d’un tore.

La forme géométrique connue en tant que tore est bien adaptée à la nature et aux fonctions que Meijer attribue au champ mental .

A torus (Public domain) Background: (Felix Mittermeier)

Un tore est décrit dans le dictionnaire de Merriam Webster comme étant «  une surface en forme de doughnut générée par un cercle pivotant autour d’un axe en son plan qui n’intersecte pas le cercle »

Meijer présente des motifs variables en accord avec les théories physiques pour choisir cette forme à ce supposé champ mental . Un motif est relié à une théorie du comment l’activité électrique du cerveau oscille.

Ces rythmes ont été comparé aux particularités de l’univers, tels que ceux décrits par String Theory. Meijer décrit ceux-ci comme des «  mouvements tore multi-dimentionnels ».

The nested torus structure suggested by Dr. Dirk Meijer for the mental field connected to the brain. (Courtesy of Dr. Dirk Meijer)

La structure tore fut trouvée dans les propriétés physiques des trous noirs et de l’univers dans son ensemble , du microscopique au plus macroscopique, explique Meijer. Ça pourrait jouer un rôle important dans l’intégration dynamique de l’ information qui existe dans l’esprit et le cerveau.

Meijer débat sur les implications les plus larges de la philosophie en relation avec la matière.

Meijer écrit : «  Notre papier pourrait directement contribuer à répondre à la fameuse question du philosophe et scientifique cognitif, David Chalmers «  Comment quelque chose d’immatériel comme une expérience subjective et la conscience de soi peut surgir de la matière du cerveau ? »

La capacité du champ mental à pêcher des informations d’autres champs, tel qu’envisagé par Meijer, pourrait aussi s’expliquer par certains phénomènes anormaux, comme une perception extrasensorielle note-t-il.

De son point de vue ; «  La conscience peut être vue comme la pierre angulaire la plus fondamentale de la nature et par conséquent, est présente à tout les niveaux du tissu de la réalité »

Depuis que la physique quantique a émergé, les scientifiques ont exploré ses capacités à expliquer la conscience. Le travail de Meijer s’inscrit dans cette exploration.

Une autre théorie appelée la «  réduction objective orchestrée » ou «  Orch-OR » fut développée par le physicien Monsieur Roger Penrose et par l’anesthésiste, le Dr. Stuart Hameroff.

Sur son site web, Hameroff décrit la théorie «  cela suggère que la conscience résulte des vibrations quantiques dans les polymères protéïques appelées microtubules à l’intérieur des neurones du cerveau ».

Comme Meijer, Penrose et Hameroff ont dit : « Il y a une connexion entre le traitement biomoléculaire du cerveau et la structure basique de l’univers. » Ils appellent également à un changement majeur dans la façon dont les scientifiques voient la conscience.

Hameroff disait dans un interview pour le blog « Singularity » : «  La plupart des scientifiques ne peuvent expliquer la conscience dans le cerveau ; donc ils ne peuvent pas dire que la conscience hors du cerveau est impossible ».

Edit. : Dr Dirk Meijer a fournit au journal The Epoch Time une modification à son article, clarifiant que le tunnel et l’enchevêtrement quantique ne sont pas les méthodes les plus probables de transfert d’informations entre le champ mental et le cerveau. Il a été démontré que ces deux phénomènes ne peuvent fournir uniquement qu’une corrélation entre deux particules, pas nécessairement le transfert d’information ( même si cela pourrait s’avérer être le cas dans les recherches futures)

De préférence, la résonance quantique est un mécanisme plus probable du traitement extrêmement rapide de l’information dans le cerveau. Cela veut dire qu’à la place d’envoyer des signaux entre les neurones dans le cerveau, un modèle d’onde qui encercle tous les neurones ainsi que le champ mental transmet instantanément l’information.

Représentez-vous une onde de vibrations allant de haut en bas dans un circuit constant et parcourant tout votre cerveau et allant même à l’extérieur de lui. Ce modèle communique des informations qui peuvent être comprises par les récepteurs vibratoires dans votre cerveau. Tout ceci est en train d’arriver dans une dimension et à un niveau microscopique non directement perceptible au travers des instruments scientifiques conventionnels à notre disposition aujourd’hui, cependant cela peut être déduit grâce aux modélisations physique et mathématique.

Pour l’article original, cliquez sur le lien ci-joint: A new theory of counsciousness

Les pervers narcissiques: révélateurs de maux cachés

Ce 11 mars 2017, j’ai réalisé une conférence au salon Sésame Bio & Bien-être de Nîmes qui avait pour thème ” Les pervers narcissiques; révélateurs de maux cachés”.

“En dehors de la nécessité à décrypter et comprendre les comportements des pervers narcissiques pour s’en protéger, les voir aussi comme des loupes aux failles reniées est une belle opportunité pour transformer les faiblesses en force.
Quels types de personnalités attirent les PN et comment tourner ces situations d’emprises psychologiques en avantages?Il est temps de revoir nos conceptions et d’aller au delà des accusations et constats pour se concentrer en priorité sur comment se renforcer, passer du statut de victime à celui de gagnant.”

 

 

Vous étiez plus de 260 personnes à ce RDV et je remercie chaleureusement chacun d’entre vous pour votre écoute et vos témoignages.

Je laisse ici l’enregistrement de la conférence jusqu’au 20 avril 2017 pour ceux qui souhaitent la revoir et la partager et également, permettre à ceux qui n’ont pas pu y assister de la visionner. Le son n’étant pas d’une grande qualité, je vous recommande de porter un casque pour l’entendre aisément.

Vous pouvez retrouver le livre “Pervers Narcissiques, Révélateurs de Maux Cachés” à la librairie Sauramps de Montpellier, la Librairie Goyard de Nîmes ainsi que sur Amazone en cliquant sur ce lien Le livre en version numérique ou broché

Les pervers narcissiques; révélateurs de maux cachés 

Les compulsions alimentaires, comment arrêter ? 6 causes et 4 clés pour s’en sortir.

Si vous faites partie de ces personnes qui ont des compulsions alimentaires et souhaitent perdre du poids ou tout simplement mieux contrôler votre appétit pour un mieux être, cet article va grandement vous intéresser .

Avant de vous donner des conseils efficaces pour faire face à ce problème, faisons un petit tour du côté du pourquoi vous en êtes arrivé là ?

Se jeter sur la nourriture n’a jamais été pour personne un plaisir et c’est même pour tout ceux qui le vivent, un véritable cauchemar : impression de ne plus pouvoir se maîtriser, problèmes de poids ou de vitalité avec risque de développer certaines pathologies, mésestime de soi et dans certains cas plus sérieux ; anorexie-boulimie/ boulimie.

Quels sont les causes des compulsions alimentaires?

Du côté psychologique :

Se nourrir fait partie des réflexes physiologiques essentiels à notre bon fonctionnement et cela nous procure toujours une sensation de bien-être et de satiété. Manger peut même devenir pour certains un plaisir des sens très important et c’est ce que recherchent les épicuriens : l’exaltation des papilles.

Manger est depuis notre naissance relié à un plaisir, un réconfort qui passe par la bouche et en lien avec la mère tendre, bienveillante et sécurisante.

Qui n’a pas eu cette envie subite de manger plus que de raison suite à une mauvaise nouvelle ou un événement désagréable? Cet élan qui ne répond pas à nos besoins physiologiques va pourtant nous procurer immédiatement un sentiment d’apaisement. Si cela reste anecdotique, pourquoi se priver du plaisir de manger un fondant au chocolat tout en relatant ses déboires à notre meilleur confident ? Je dirais même que c’est très thérapeutique. En un court instant par cet acte, l’on retrouve le sentiment de sécurité relié à notre enfance, l’insouciance et le souvenir de l’amour maternel ce qui va créer une coupure dans le stress infligé et qui permettra à notre mental comme notre corps de se détendre afin de faire face plus aisément au problème rencontré.

Là où cela devient pathologique, c’est lorsque ces « écarts » deviennent des réflexes systématiques à la moindre contrariété ou pire, sans raison particulière et deviennent donc au bout du compte des compulsions alimentaires.

3 Causes essentielles :

 

  • le sentiment d’insécurité : Traversant une période difficile, vous vous sentez perpétuellement agressé par votre environnement. Vous ne parvenez pas à ressentir votre capacité à vous défendre ou vous protéger. Peut-être que vous doutez totalement de vos capacités à vous protéger car vous avez vécu une situation où vous avez été impuissant et en avez subis violemment les conséquences. Dans ce dernier cas, cela peut-être un licenciement inattendu et injustifié ( ou vécu comme tel), une rupture amoureuse, un choc émotionnel, un traumatisme, une agression.                                                                                 Quels que soient les raisons qui vous font ressentir cette insécurité, vous avez besoin de déployer autour de vous une forteresse de protection qui sera traduite par une prise de poids. Cette prise de poids vous semblera inconsciemment bénéfique telle une armure. De plus, en vous, cette sensation de satiété et satisfaction liée à l’action de vous nourrir va vous faire revivre fugacement la sécurité de l’enfance lorsque la mère comblait vos besoins.
  • la peur de l’abandon/ le manque affectif : Dans ce cas, ce n’est pas tant l’insécurité qui vous pose problème mais plutôt la peur d’être séparé de l’autre ou la sensation d’être rejeté. Se remplir par la nourriture est un des moyens qui permet de retrouver le lien à l’autre, à la mère, au sentiment de refuge et d’amour. « Je ne suis pas seul puisque je suis nourris » semble vous dire votre inconscient.
  • le sentiment de vide intérieur : Cela arrive souvent à la suite de revers et de pertes. Vous avez perdu un être cher, des points de repères importants et vous avez l’impression d’avoir perdu en même temps une partie de vous-même. Vous vivez peut-être une dépression ou un burn-out. En réalité lorsqu’on ressent ce sentiment de vide intérieur c’est que vous vous rapprochez de votre véritable « moi », votre être intérieur. Le vide n’existe pas dans l’univers et le réflexe naturel est de chercher par tous les moyens à le remplir. Que ce soit par des activités, des rencontres ou la nourriture.
Du coté physique :

Les 3 causes :

  • Une carence alimentaire : Lorsque le corps manque de nutriments importants il va vous lancer des « appels » jusqu’à ce qu’il reçoive ce dont il a besoin. Auquel cas, ces appels cessent dès que le besoin a été comblé et que l’organisme fonctionne à nouveau parfaitement. En cas contraire, le cerveau va sans cesse envoyer des messages de besoin de nourriture et forcément, vous allez lui obéir. Le problème réside dans le fait que vous n’êtes pas suffisamment à l’écoute de votre corps et lui apporterez dans ce cas des apports qui ne correspondent pas à ses besoins nutritifs. Cela va générer une prise de poids et/ou des carences nutritives qui ne vont que renforcer ces «  appels » traduits par des compulsions alimentaires.
  • Un stress chronique/ super stress : Exposé au stress depuis longtemps, que cela ait généré ou pas un burn-out, votre corps a été puisé en lui toutes les ressources nécessaires afin de pouvoir répondre au mieux à ces situations. Ces surconsommations de nutriments vont créer à la longue, si il n’y a pas de mesure prise pour y pallier ( thérapie/relaxation/sport + compléments alimentaires) , des carences nutritives. Ces carences tels que dans le point évoqué ci-dessus vont créer ces appels du cerveau pour vous nourrir.                                                         De plus, suite à un stress aigu ( même isolé), la libération des sucres et des graisses des cellules pour répondre à l’état de stress va enclencher par la suite une demande de réapprovisionnement des ressources déclenchées. C’est pourquoi, la majorité d’entre nous ressentons une fringale après un coup de stress. Malheureusement, ces sucres et graisses déstockées pour faire face au stresseur ( facteur ayant déclenché le stress) n’ayant pas été utilisées puisque cela est rarement relié à une action physique ( fuite ou combat, le réflexe face au stress aigu), l’insuline sera déclenchée pour restocker ces sucres et graisses au niveau de l’abdomen ou des «  poignées d’amour » généralement.

  • Un leaky-gut ou hyperperméabilité intestinale : C’est lorsque votre intestin est poreux et ne laisse plus entrer les micronutriments correctement tout en laissant passer les macronutriments ( aliments non digérés, toxines, etc..). Ce syndrome provoque systématiquement des carences nutritives. Les premiers symptômes d’un leaky gut sont des ballonnement, diarrhée ou constipation, flatulences, douleurs et crampes intestinales, allergies /intolérances et pouvant aller jusqu’à des maladies bien plus sérieuses tels que les maladies auto-immunes, la maladie de Crohn, dépressions, certains cancers, etc…

Alors que faire?

4 conseils clés :
  1. La première chose à faire est de vous questionner face à une envie irrésistible de vous jeter sur une barre chocolatée ou un paquet de chips.                                        « Qu’est-ce que je ressens quand j’ai une compulsion alimentaire? » En fonction de la réponse qui vous vient naturellement à l’esprit, faites le lien avec les 3 points évoqués ci-dessus. Est ce un sentiment d’insécurité/ d’abandon/ de rejet/ de vide intérieur ? Auquel cas à quoi est-il relié aujourd’hui ou dans votre passé ? Ramenez ensuite à la situation actuelle et relativisez.Sur base de votre introspection, pratiquez une ronde de tapping/EFT sur ce mal qui vous pousse à vous « remplir ».
  2. Ne jamais culpabiliser : Vous avez encore craqué et vous vous maudissez ! Stoppez ce mécanisme immédiatement en ressentant de la compassion pour ce que vous ressentez et en vous autorisant de ne pas encore réussir à maitriser vos compulsions alimentaires. Vous pouvez encore dans ce cas faire du tapping. Plus vous vous jugerez sur vos failles plus vous focaliserez votre attention sur ce défaut et plus vous le renforcerez. Inversement, plus vous acceptez ces penchants, plus vous vous autorisez à être un être humain non parfait comme tous les autres, plus vous diminuerez ces compulsions. Elles seront de moins en moins nécessaires.                                                                                    De plus, si vous mangez en l’acceptant pleinement et en vous répétant mentalement «  Cette nourriture me fait du bien ; elle est bonne pour moi, pour mon corps et mon mental. Je sais que ce qui sera inutile pour mon corps sera éliminé », et moins vous subirez les conséquences négatives de ces compulsions alimentaires à savoir la prise de poids, la mésestime de soi et la culpabilité ( dixit bon nombre de nutritionnistes avertis). Par ce principe, en vous autorisant cet interdit votre inconscient ne ressentira plus le besoin de « braver l’interdit » en quelques sorte.
  3. Faites le point sur vos habitudes alimentaires autre que vos compulsions alimentaires. Est-ce que vous mangez varié et à heures fixes ? Respectez-vous votre rythme ? Avez-vous des apports nutritifs de qualité ( aliments sans pesticides sans hormone, ou provenant de l’agriculture biologique)                                              Si vos repas sont un hommage à la mal-bouffe, consultez un nutritionniste ou un naturopathe qui sera à même de vous guider et vous conseiller dans votre alimentation et même dans votre façon de cuisiner. Le fait de vous apporter les bons nutriments fera cesser immédiatement les appels réels de votre cerveau vous réclamant sans cesse ces bons apports que vous lui refusez en ne lui offrant que des apports de mauvaises qualités hyper-caloriques.

  4. Prenez des compléments alimentaires. En effet, même en ayant une alimentation parfaitement saine et équilibrée, lorsque un organisme a fait face à une surconsommation des nutriments ( pour faire face à des événements inhabituels / stress chroniques), la nourriture actuelle n’est plus autant dosée en nutriments essentiels et vitamines comme il y a 100 ans. La régénération par l’apport unique de notre alimentation saine n’est donc plus suffisante et peut conduire à des compulsions alimentaires. L’apport de ces compléments vous offrira donc une régénération rapide de votre organisme et par ce fait, diminuera automatiquement, comme dans l’exemple ci-dessus, ces compulsions alimentaires.Pour prendre ces compléments alimentaires, faites appel à un professionnel de santé qui saura vous conseillez.

En appliquant sérieusement ces conseils, vous pourrez véritablement reprendre le contrôle de vous-même et vous sentir léger et bien dans votre peau.

Plus d’informations….

Si vous avez des questions, vous pouvez me joindre via mon adresse mail : vitamine.be@yahoo.com ou via MP sur ma page Facebook → https://www.facebook.com/BB.vitamine/ ou tout simplement me laisser un commentaire ci-dessous.

Pour aller plus loin, vous pouvez suivre mes cours offerts sur notre appareil digestif dont l’intestin en suivant ces liens ci-dessous. Via la chaîne VitaMine Bé, vidéo ” Comment prendre soin de sa santé par la micronutrition” de 2 à 5. Pour la 1er cours, suivez ce lien-> Cours 1 

Pour une compréhension plus globale et simplifiée de l’intérêt de prendre soin de son corps et de son mental, je vous invite à visualiser la vidéo ci-dessous.

 

Comment se protéger des personnes toxiques?

Confrontés à certaines personnes, il arrive que votre bien-être en prenne un coup et vous vous demandez alors ce qui a bien pu se passer pour en arriver là.

Si certaines personnes n’ont aucunement conscience d’être toxiques, d’autres par contre, en sont parfaitement conscientes et c’est même là leur but. Cette dernière catégorie agit en sorte de vous mettre sous leur emprise psychologique.

Qu’est ce que l’emprise psychologique des personnes toxiques?

Une emprise psychologique vous prive de vous-même, de vos libertés d’être et d’agir. L’emprise psychologique est une conséquence des jeux de pouvoirs et de manipulations. Certaines personnes toxiques excellent dans cet art qui laisse peu de place à l’approximation. Il est donc important d’être un minimum informé pour s’en prémunir.         Voici ici une définition plus complète de Roger Doray*:

« Dans la relation d’emprise, il s’agit toujours et très électivement d’une atteinte portée à l’autre en tant que sujet désirant qui, comme tel, est caractérisé par sa singularité, par sa spécificité propre. Ainsi, ce qui est visé, c’est toujours le désir de l’autre dans la mesure même où il est foncièrement étranger, échappant, de par sa nature, à toute saisie possible. L’emprise traduit donc une tendance très fondamentale à la neutralisation du désir d’autrui, c’est-à-dire, à la réduction de toute altérité, de toute différence, à l’abolition de toute spécificité ; la visée étant de ramener l’autre à la fonction et au statut d’objet entièrement assimilable ».

Dans cette vidéo, j’aborde donc le fonctionnement des personnes toxiques, comment les détecter et s’en protéger.

EFT/Tapping: Les extraordinaires avantages à ne pas stresser

Le stress, comme vu précédemment, précipite notre vie et notre santé vers un enfer sournois. Insipide et inodore, le stress nous enlève jour après jour nos petites perles de bonheurs, notre force, notre courage, notre optimisme et notre vitalité jusqu’à ce qu’un jour, il emporte avec lui notre corps dans une danse macabre qui nous visse au sol ou à la salle d’attente d’un médecin.

Comment ne pas stresser et retrouver la sérénité?

Comment ne pas stresser et retrouver la sérénité?

Vous connaissez déjà ça? Si la réponse est oui, je vous invite à visionner cette vidéo ci-dessous qui vous rendra espoir et vous motivera à prendre soin de vous.

Parce que sous l’effet du stress vous ne voyez plus de sortie, perdez de l’intérêt pour ce qui pourrait vous aider, vous apaiser.

Mais faites juste un petit pas, un seul et votre vie va alors changer. Bien sûr, pas du jour au lendemain. Mais au fil du temps, pas après pas, vous grimperez cette montagne du bien-être jusqu’au moment où vous vous retournerez et constaterez avec joie, l’immense ascension que vous venez de réaliser. Lors de votre voyage, ne regardez jamais le sommet, le but, mais appréciez ce qui chaque jour, améliore votre état, vos réactions et vos efforts qui deviennent  à force de les répéter des moments très agréables, qui remettent des couleurs dans votre existence.

Dans ce petit cours, vous comprendrez pourquoi il est si compliqué et difficile d’avancer vers nos buts, nos idéaux. Vous comprendrez aussi pourquoi, notre cerveau, fait la loi comme il l’entend et pas nécessairement pour nous servir même si son but premier est de nous protéger.

Votre cerveau est comme un ordinateur que l’on peut programmer, maîtriser.

Il est vrai que l’on ne s’improvise pas informaticien du jour au lendemain. Il nous faut un diplôme ou au moins beaucoup de pratique, de désir d’apprendre et de patience. Mais avec de l’entrainement, l’étude de soi et de certaines techniques et outils, vous pourrez véritablement changer vos habitudes et par là, reprogrammer en douceur votre cerveau  afin qu’il serve vos intérêts et vos désirs.

Le stress, le burn-out, les traumatismes, le stress chronique ou super stress, figent souvent les personnes qui le subissent dans une sorte d’impuissance, une fatalité contre laquelle on pense ne rien pouvoir faire. C’est faux. Vous pouvez décider de gérer vos émotions et d’être à l’écoute de vos besoins. Mais pour parvenir à cet objectif, il faut faire preuve de patience car le corps et le mental ne peuvent pas changer les habitudes de fonctionnement installées depuis des années voire depuis toute une vie en quelques jours. La patience sera votre plus grande alliée dans ce cheminement et c’est elle qui garantira vos succès futurs. Vous serez chaque jour récompensé pour votre volonté de changer par des moments privilégiés qui vous motiveront à poursuivre et à être reconnaissant pour qui vous êtes et ce que vous faites.

Sans transition, je vous retrouve de l’autre côté pour un pas de plus vers votre sérénité, vers votre RA* : Relax Attitude*.

 

EFT/ Tapping : Tuez le stress ; Cause du burn-out, de la dépression et de la porosité de l’intestin.

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Il n’est plus nécessaire de dresser un tableau de la situation globale concernant les maladies causées par le stress par contre, il est urgent de  bien comprendre comment le stress impacte votre santé et bien-être. En abîmant en premier lieu votre intestin avec toutes les conséquences que cela peut engendrer, le stress use, désagrège nos organes mais également, et cela va de paire,  votre bonne humeur et votre vitalité.

Dans la vidéo ci-dessous, je vous offre un cours sur comment gèrer son stress, les conséquences liées au stress qui peuvent mener aux maladies tels que la dépression, le burn-out, les ulcères, les pathologies liées à l’intestin, au foie. Mais aussi les maladies coronariennes, les allergies et intolérances, les problèmes de poids, de cholestérol,  les compulsions sucrées, les baisses d’efficacité du système immunitaire, etc…

Tordez le cou au stress et profitez de ce cadeau pour apprendre à lâcher la pression par une petite séance de Tapping ( EFT).

L’EFT ou Tapping a prouvé son efficacité dans le cadre de recherches menées pendant plus de 10 ans par l’école de Harvard qui ont démontré que le Tapping ( EFT) fait décroître l’activité dans l’amygdale ( zone dans notre cerveau que j’appelle ” le centre névralgique du système d’alarme de mise en danger” / “alarme rouge” ), l’hippocampe et l’axe hypothalamus-hypohyso-surrénalien* ( autres parties du cerveau intervenant dans le circuit emprunté par les substances chimiques qui interviennent lorsqu’on est confronté à un stresseur). Il a été observé une désactivation de “l’alarme rouge” de l’amygdale lorsque les points d’acupuncture sont stimulés. En comparant les 2 techniques de l’acupuncture avec les aiguilles et à la pression des points d’acupuncture ( tel que le fait l’EFT ), il a été constaté des améliorations significatives avec chaque méthode mais un effet positif augmenté avec l’EFT dans le traitement des troubles de l’anxiété spécifiquement.

Convaincu(e)? Gérer son stress est important alors je vous retrouve tout de suite dans ma vidéo !

(*) axe HHS

Évitez de devenir moches, gros, vieux et malades en mangeant de bonnes graisses.

SEPT BONNES RAISONS DE MANGER DES BONNES GRAISSEShuile-vegetale-tout-savoir

Beaucoup de personnes, pratiquement la majorité d’entre nous, pensent que les lipides sont mauvais pour la santé. Si je pose la question à certains d’entre vous, on me dira que “Ça fait grossir, c‘est malin ! “ et que ça crée des problèmes de cholestérol ( “  Comme si ça m’amusait de ne plus pouvoir manger mon saucisson des Ardennes ! Tssss”  )                         Et pourtant, ces informations ne sont exactes que si on mange de mauvaises graisses !

Car il ne faut surtout pas oublier que toutes les cellules qui nous constituent sont faites de membranes lipidiques ( de graisses). Ces membranes permettent la protection de nos cellules et également aux échanges de se faire. Si nous n’apportons pas de graisse par notre nourriture, les cellules vont notamment stocker les acides gras par prévention ce qui va provoquer une série de problèmes avec en premier lieu ; les problèmes de poids mais pas que. Suivez-moi chers Triglycérides que vous êtes, vous allez comprendre.

C’est quoi une bonne graisse ?

Une bonne graisse est ce qu’on appelle un acide gras insaturé cis. Vous allez me dire : «  Mais qu’est ce que c’est que ce truc-là encore ? ». Petite explication. ( oui petite…)

La structure moléculaire d’un acide gras ( qui est la plus petite structure constituant la macromolécule du lipide) est constitué d’une chaîne carbonée ( des atomes de carbone) liée à des atomes d’hydrogène et qui se termine par un groupement d’atomes COOH ( 1 carbone-2 oxygènes- 1 hydrogène). Ne me quittez pas maintenant, vous allez tout comprendre dans une minute !

Un acide gras insaturé est un acide gras présentant une chaîne carbonée avec au moins une double liaison C-C ( carbone-carbone). Ces doubles liaisons vont créer une cassure dans la structure moléculaire de l’acide gras et va donc présenter une configuration plus souple qui est idéale pour nos cellules.img_acide_gras_insature-de-ogm-gouv-qc-ca

Contrairement à l’acide gras saturé, qui lui ne présente aucune double liaison     C-C et va donc avoir une structure rectiligne et être rigide.img_acide_gras_sature-de-ogm-gouv-qc-ca

Un acide gras TRANS est un acide gras présentant des atomes d’hydrogènes de chaque côté de la chaîne carbonée ( ils sont opposés) alors qu’un acide gras CIS lui possède les atomes d’Hydrogène du même côté. Le CIS ( en vert sur le schéma) donne une configuration cassée dans la chaîne carbonée et le TRANS     ( en rouge, comme “pas bieeeennn” ), au contraire, va maintenir la chaîne rectiligne.

cis_trans-1

On obtient la configuration TRANS lorsqu’on chauffe trop longtemps une graisse et on la retrouve généralement dans la nourriture de l’industrie agroalimentaire. 

                                                                                 

triglyceride1Notre corps stocke les acides gras libres sous forme de triglycérides (voir shcéma ci-joint) et c’est également sous cette forme que nous les mangeons. C’est leur digestion qui les transforme en acides gras libres. ( pour mieux comprendre la digestion des graisses voir ma vidéo -> Comment prendre soin de sa santé par la micronutrition 2  )

cholesterol-201091163822Le cholestérol qui fait également partie de la famille des acides gras, possède 4 anneaux d’atomes de carbone, ce qui rend la structure très rigide. Cependant, le cholestérol placé entre les phospholipides va au contraire augmenter considérablement la fluidité membranaire comme vous pouvez le constater sur le schéma ci-contre où l’on observe un cholestérol entre 2 phospholipides qui augmente l’espace entre chaque. 

                                                                                            Plus les acides gras sont coudés/ «  cassés » et longs, plus ils seront excellents pour notre santé.

En effet, la membrane d’une cellule étant constituée d’une double couche de phospholipides ( des acides gras + une tête composée d’un atome de phosphore + des azotes), il est important que les acides gras qui les composent soient souples. Sur le schéma ci-dessous, vous pouvez observer ces deux couches. Non représentés ici, au sein de ces couches, se trouvent des éléments dont des transporteurs.phospholipid_tvanbrussel

Ces transporteurs s’ouvrent et se ferment constamment, pour faire sortir des éléments, de l’énergie ou pour faire entrer des nutriments. Si ces transporteurs sont entourés d’acides gras trans saturés, le transporteur ne jouera pas son rôle puisque la rigidité membranaire le coincera.

Les enzymes également doivent transiter par les membranes ainsi que certains nutriments par osmose. Encore une fois, si celle-ci est trop rigide, l’échange ne se fera pas correctement.

Voici les SEPT bonnes raisons de manger des graisses ;

  1. Cela va augmenter la fluidité de vos membranes cellulaires ce qui va favoriser les échanges intra et extra-cellulaires. Concrètement, vous allez garder la ligne et rester en forme grâce à la transformation des stocks en énergie Les omégas 3, 6, 9.

  2. Vous offrir un système immunitaire adapté grâce à ces acides gras précurseurs des prostaglandines anti-inflammatoires Les omégas 3

  3. Améliorer les performances synaptiques (la qualité de la transmission de l’information entre les neurones ) surtout grâce aux omégas 3 de bout de chaines ( EPA/ DHA) ce qui donne une meilleure mémoire, une stabilité de l’humeur et une bonne capacité de concentration . Les omégas 3 surtout que l’on retrouve dans les petits poissons de mer froides ( afin d’obtenir la forme EPA/DHA)

  4. Vous rendre plus beau/belle parce que votre peau sera plus nourrie et plus douce grâce à l’effet hydratant qui contribue à son élasticité et permet une bonne cohésion entre les cellules de la peau. Les omégas 9 en priorité puis 3 et 6 .

  5. Vous protège grâce à une meilleur activité cardiaque puisque les cellules de sang sont constituées comme toutes autre cellule de phospholipides, la fluidité membranaire apporte plus d’un bénéfice que ce soit pour la tension artérielle, le rythme cardiaque, la protection des vaisseaux sanguins. Les omégas 3 .

  6. Augmente la perméabilité sélective des membranes : c’est à dire qu’elle empêches les agents pathogènes de rentrer et facilite l’entrée des nutriments et transporteurs au sein de la cellule. Les omégas 3,6,9

  1. Vous permet de rester plus jeune plus longtemps ! Le renouvellement cellulaire est amélioré grâce à la capacité de scission de la membrane lors de la division cellulaire. les omégas 3 et 9

Comment s’y retrouver ?

Les omégas 3 : On en retrouve en grande quantité dans les petites poissons de mers froides et tous les poissons gras ( thon, saumon, morue) , dans l’huile de colza , l’huile de lin, l’huile de noix mais aussi dans l’huile de germes de blé et l’huile de soja, l’huile d’olive, les noix fraîches, les amandes et les noisettes.

Les omégas 9 : On les trouve dans l’huile d’olive essentiellement, l’huile d’arachide, l’huile de sésame et également dans l’olive bien sûr et l’avocat.

Les omégas 6 : Prenez note que les omégas 6 sont pro-inflammatoires, qu’on les retrouve un peu partout dans notre alimentation et qu’il faut veiller à avoir un bon rapport Ω3/Ω6 ( l’idéal est un rapport Ω6/Ω3 = 5 ). On les retrouve dans l’huile de tournesol, de maïs, de pépin de raisin, de soja, et de coton,…

Dans les acides gras, il en existe qui sont essentiels d’autres non-essentiels. Cela veut dire que les essentiels ne sont pas synthétisés par notre organisme et les non-essentiels, eux, peuvent l’être. Nous devons donc impérativement apporter les acides gras essentiels dans notre alimentation.                                       Il s’agit de l’acide alpha-linolénique (A.L.A.) pour les oméga 3 que l’on retrouve notamment dans l’huile de colza, de soja, les noix et l’acide linoléique (L.A.) pour les omégas 6 que l’on retrouve dans l‘huile d’onagre, de maïs, de tournesol, de lin, etc…

Pour conclure cet article, les seules graisses que vous devez absolument éliminer de votre alimentation même si vous êtes jeune, belle et mince, ce sont celles des fritures ( mes chers compatriotes belges, nous sommes foutus!), margarines, des huiles non protégées dans des verres foncés, des fast-foods, des plats préparés, les huiles réchauffées…                                                                                             Alors? C’était simple non?                                                                                      Prenez soin de vous les VitaMines…Triglycrérides aujourd’hui  (*^-^*) 

Traumatisme et Syndrome de Stress Post Traumatique (SSPT)

Les personnes ayant vécu un grand traumatisme où leur intégrité physique a été mise en danger où lorsqu’ils ont été témoins d’une violence sur autrui causant la mort ou le risque de mort, peuvent enclencher ce qu’on appelle le syndrome/l’état de stress post-traumatique ( SSPT/ESPT) . Ce syndrome ne survient heureusement pas systématiquement au suite d’un événement traumatique ; tout dépend de l’histoire de la personne, de son héritage génétique et de la capacité physiologique du corps à traiter les situations de mise en danger.                                                                                               Ce syndrome se reconnaît au travers de différents symptômes que sont ;

Reviviscences:le-cri-munch
* Souvenir du traumatisme de façon répétée et incontrôlable. ( la personne a le sentiment de revivre en boucle le trauma) / Flashbacks / Cauchemars
* Hyperexcitation du circuit de la peur ( système limbique + cortex préfrontal) dès qu’il y a une stimulation du souvenir de l’événement traumatique ( un lieu, de la musique, une personne, une odeur, etc…) se traduisant notamment par des attaques de paniques ou des crises d’angoisses.
Évitement:
* Évitement de tout ce qui évoque le traumatisme au niveau des actions, des relations,    des lieux, des activités, objets, pensées ou sentiments reliés à l’événement
Impacts au niveau émotionnel et comportemental:
* Perte de mémoire concernant certains aspects ou partie du traumatisme
* Repli sur soi, méfiance des autres et du monde extérieure
* Sentiment de danger imminent provoquant ; peur, horreur, colère, culpabilité, honte…
* Perte d’intérêt /d’appétit ( certaines personnes peuvent déclencher de la boulimie /    anorexie)
* Difficulté à se projeter dans l’avenir/ de construire un projet
* Hyper-perfectionnisme
Surinvestissement du système nerveux:
* Prises de risques ou tendance autodestructrice ( excès de vitesse/ sports extrêmes/    alcool/drogues/médicaments,etc…)
* Hypervigilance liée à un sentiment d’insécurité
* Difficultés de concentration
* Irritabilité ou excès de colère
* Troubles du sommeil ; paralysies du sommeil, insomnies, somnambulismes,…

Les symptômes ne sont pas les mêmes pour tous bien entendu et n’apparaissent pas tous simultanément ou systématiquement. Ce qu’il faut noter, c’est la que personne va subir une modification de sa personnalité ( sans nécessairement le réaliser immédiatement) et va également avoir la sensation de perdre tout ses repères d’avant l’événement traumatisant. On considère qu’une personne présentant ces symptômes a développé un SSPT lorsque ceux-ci perdurent au delà d’un mois et qu’ils entraînent une souffrance dans sa vie ( familiale, sociale et / professionnelle). Ces symptômes peuvent également apparaître plusieurs mois voire dans certains cas , plusieurs années après l’événement.

                Comprendre le fonctionnement du cerveau en cas de SSPT :                       Un premier pas vers la guérison et l’acceptation.

Il faut comprendre que les personnes développant ce syndrome ( SSPT) vivent comme un arrêt sur image.                                                                                                                 Le cerveau n’arrive pas à évacuer l’événement, donc ne peut pas ni le classer ni le digérer. Il vit un bug. Ce bug va provoquer toute une série de réactions en chaîne au niveau du circuit de la peur ( circuit du système limbique et du cortex préfrontal). Ces circuits sont surexcités jusqu’à provoquer une saturation des commandes ce qui va entraîner au long cours une baisse du cortisol, un épuisement du circuit des catécholamines avec en bout de course, un épuisement nerveux/ dépression/ burn-out. Cet arrêt sur image emprisonne la victime de ce trouble au sein même de l’événement. L’état conscient peut analyser qu’une situation est sécure mais l’amygdale, elle, continue d’envoyer des signaux de danger imminents au moindre signe qu’elle considère comme suspect.

C’est pourquoi des personnes traumatisées vont répéter encore et encore des schémas qui vont leur faire revivre le trauma. Le cerveau étant vicieux sous certains aspects et ne répondant qu’aux commandes d’un logiciel que nous fabriquons par nos systèmes de pensées et nos instincts, va aller chercher sans interruption des preuves de ce qu’il a reçu comme ordre : «  je suis en danger. Protèges-moi ». Il ne répond qu’à une seule logique : obéir. On comprend donc que la personne soufrant de Syndrome de Stress Post Traumatique va aller rechercher des preuves du danger quitte à parfois le provoquer, paradoxalement.

Ces fonctionnements qui peuvent sembler fous d’un point de vue extérieur sont pourtant une horrible réalité pour celui qui porte ce syndrome.

La réalité de la personne souffrant d’un SSPT devient une prison inquiétante où chaque donnée inconnue traversant le périmètre de sa sécurité devient danger grave et imminent. La réaction de fuite ou de combat devient la seule option. L’amygdale étant constamment en alarme bloque l’accès au cortex pré-frontal où se trouve le siège de la réflexion et de la raison.                                                                                                                                 Pour mieux comprendre le concept, prenons un exemple :                                                     Si vous tombez nez à nez sur un lion en chasse, vous n’allez certainement pas vous asseoir, réfléchir à quels actes poser comme grimper dans un arbre/ apprivoiser la bête / sortir un sandwich de votre sac /calculer sa pointe de vitesse par rapport à la vôtre ou les probabilités de chance qu’il vous ignore tranquillement. Heureusement non, votre amygdale va envoyer l’alerte et les hormones du stress vont se mettre au travail de façon autonome pour contrôler immédiatement vos organes afin de déclencher la course à pieds. Ouf ! Grâce à ça, les précieuses secondes gagnées à réagir immédiatement plutôt que de réfléchir ont sauvé votre peau !

Les conséquences physiologiques dues au Syndrome de Stress Post Traumatique

Le traumatisé qui a enclenché le SSPT a une amygdale bloquée en mode « alerte ». Le corps subit en permanence la réaction à la peur «  fuite ou combat ». La personne va donc devoir constamment se maîtriser, se faire violence pour ne pas agresser l’autre ou le fuir avec parfois l’impossibilité de lutter contre cette voie du stress. Cela engendre des conséquences physiques que l’on retrouve dans les pathologies induites par le stress       ( maladies cardiovasculaires, dysimmunitaires, allergies, dépressions, burn-outs, …) .

C’est un combat épuisant et destructeur pour le traumatisé que de devoir gérer ce type d’émotions qui n’est rattachée à rien de concret. Le blâme est perpétuel car ces personnes restent conscientes et voient clairement que leurs réactions ne sont pas adaptées aux circonstances ( après coup) . Malheureusement, l’amygdale a pris les commandes.                                                                                                                           Le cortisol qui est l’hormone du stress, a aussi un rôle neuroprotecteur, un rôle tampon. Si il est trop souvent sollicité, il ne va plus agir.                                                                         C’est comme conduire une voiture et voir des obstacles à chaque coin de rue alors qu’il n’y en a pas. On donne des coups de freins violents régulièrement ce qui déclenche l’airbag. Mais l’airbag une fois utilisé ne sert plus à rien. Ce qui veut dire qu’après le premier déclenchement de l’airbag , il n’y aura plus de protection et on va se taper la tête dans le pare-brise à chaque fois que l’on freinera brutalement. Évidemment, c’est l’exposition au stress chronique de façon prolongée qui va engendrer cette situation. Si le cortisol à l’instar de l’airbag ne peut plus assurer son rôle, il y aura des altérations au niveau du cerveau.

On peut donc dire d’une personne souffrant de SSPT qu’elle se met constamment la tête dans le pare-brise.

Ces répétitions de la non activation du cortisol dans son rôle protecteur vont aggraver d’avantage le traumatisme initial. Certaines personnes finiront même par se tuer, épuisée de revivre sans cesse ce cauchemar. D’autres vont décider de ne plus sortir la voiture du garage ( repli sur soi, inertie) . Au moins là, elles ne risquent plus de rencontrer des obstacles et de freiner violemment. D’autres encore agressent avant d’être agressés pour répondre à l’instinct hérité de nos ancêtres ( cerveau reptilien) que nous portons toujours en nous «  manger et ne pas être mangé ». Mais aucune de ces solutions n’aident. Elles ne font qu’enfoncer la personne dans un univers effrayant fait de dangers et du sentiment d’être totalement inadapté. Si les proches ne savent pas ce que c’est que le SSPT, la victime va renforcer de plus en plus son mécanisme de défense propre à elle et par ce fait, va finir par être jugée par l’entourage ou rejetée.

Le Tapping pour guérir de l’ESPT

Le Tapping ( EFT) permet véritablement de libérer la personne de chocs violents, de revenir à la source et de faire revenir à la normale le fonctionnement de l’amygdale bloquée en alerte. Des études ont même démontré l’impact positif qu’à l’EFT sur les taux de cortisol dans le sang et le fonctionnement de l’amygdale.

Avec un thérapeute impliqué, la personne va pouvoir en toute sécurité revisiter le traumatisme initial ; l’évacuer par les rondes de tapping et apaiser par voie de réponses, l’amygdale. La ronde de tapping qui consiste à tapoter des points précis de méridiens d’acupuncture, va venir casser ce traumatisme qu’on pourrait comparer à une énorme toxine. Une fois cassée par les rondes de tapping, la toxine émotionnelle liée à l’événement traumatique va sortir de son logement et s’évacuer naturellement sans mal. N’étant plus présente, tous les autres traumatismes secondaires qui s’étaient greffés sur l’initial vont naturellement eux aussi disparaître sans laisser de séquelles.

La personne va alors être surprise de constater qu’elle peut se souvenir du traumatisme mais que celui-ci ne soulève plus aucune émotion négative, juste de la neutralité. Certains vont même rire durant la séance ce qui est assez incroyable ! Mais en y regardant de plus près, c’est assez logique.

L’état de la personne a été crispé et emprisonné dans un stress permanent ; le traumatisme enfin libéré va permettre à l’énergie de circuler à nouveau librement ce qui peut provoquer par ce relâchement, le rire ou une grande fatigue passagère qui traduit un relâchement des tensions.

On ne peut jamais prédire combien de séances il faut pour se débarrasser d’un traumatisme, c’est la personne concernée qui donnera le tempo. Certains se libérent en une seule séance d’autres en 3 ou 4 et pour d’autres cela sera plus long. Le contexte social, familial et professionnel joue aussi un rôle prépondérant dans la guérison de la personne souffrant d’ESPT.

Nous avons tous une façon unique de réagir il en est de même avec l’EFT. Ce qui me tient à cœur c’est que la personne ne soit plus enfermée dans le trauma dès la première séance, qu’elle puisse à nouveau respirer comme avant. A partir du moment où le cœur du traumatisme a été enlevé, la personne peut continuer seule les exercices pour avancer et revenir voir le thérapeute lorsqu’elle sent qu’elle a perdu le fil ou que le problème à libérer est trop important pour se faire seul. C’est cela qui est merveilleux avec cette technique car une fois libéré de la plus grosse toxine émotionnelle avec le thérapeute, la personne peut choisir quand elle reviendra sans que cela ne soit un frein à son épanouissement et son avancée.

Il est tout de même fortement déconseillé de pratiquer seul l’EFT sur un choc violent ou un traumatisme. Être soutenu et encadré est primordial pour trouver la source, la nettoyer mais aussi pour être accueilli, écouté et encouragé lorsque l’émotion submerge.

Pour conclure, si vous avez un proche présentant ces symptômes, soyez attentifs et bienveillants maintenant que vous comprenez ce qu’il vit.

Autoimmune desease and self-deprecation.

Welcome on my blog VitaMine Bé, I am glad you’re visiting me. I will do my best to translate my items and here under you can find the first one translated for you. Good reading 🙂

Young Unhappy Woman, Rejection Of Bad Habits

Autoimmune desease and self deprecation

The serendipity offers you sometimes the chance to discover pearls. Here is one recently found. This is an article written by Carla M,Sodi ; A Mexican EFT therapist who is living at Queretaro and specialised in chronic, degenerative illnesses and autoimmune disorders. She is practicing throught the world due to skype including. But I was very touched by one of her articles I copy here for you. I find she translates pretty well the link there is between self-deprecation and autoimmune desease. I don’t say more and leave you with her own words which dicribe also her own pains.

Rejection in Highly Sensitive People by Carla M.Sodi

“In my own experience, and in several cases that I have seen with clients suffering with an autoimmune disorder, there is a relationship between the feeling of rejection we experience when we were kids and how we inflict this upon ourselves today, attacking our bodies.
When we were children and we began to grow, most of us wanted to be loved, respected and cared for. However, many times, we were criticized or judged or circumvented by our parents, teachers, siblings, grandparents, relatives, friends or neighbors.
We would hear comments like these:
“What is the matter with you? You’re too sensitive.”
Or…”you’re acting like a baby; stop crying.”
Or …”You can’t stand anything, everything affects you.”
In general, as highly sensitive people, our reactions are different because we feel the emotions with more intensity than others and so we can experience more feelings of pain, or despair and disappointments than people who are not highly sensitive.
As a result, we learn to hide, observe and listen carefully, looking for clues from people around us, trying to read their minds, their facial expressions, their tone and inflection of voice in the phrases and words we hear, and we become experts in detecting even the slightest sign of disapproval and rejection; although many of us misunderstood these signs and signals. We felt that we were judged or compared and these misunderstandings became constant thoughts within. This resulted in creating a false image of ourselves.
We started asking ourself:
What’s wrong with me?
Why am I not good enough?
What have I done wrong this time?
We felt that any negative reaction we received from the other person was a test that confirmed how defective and deficient we were.
We sought out to please and gratify at all costs to get some approval from people and feel accepted.
Over time, all these childhood wounds accumulated and became self-defeating beliefs that triggered both internal and external defensive responses that shaped our relationship with ourselves and with the world.
The rejections suffered during childhood created a distorted image within us and the negative beliefs and recurring patterns of behavior, made us react out of proportion towards people, sometimes very aggressively, and also attack our body with harsh criticism or harmful habits that eventually lead to an antibody’s mobilization in a strong massive attack against ourselves and the appearance of symptoms and unexplained pain that portrayed the old wounds that occurred in our childhood and have never been healed.
The continued practice of EFT allows us to begin recognizing the different parts of ourselves that we do not like or accept.
Tapping daily helps us to stop all this rejection we feel inside and form new beliefs for us, from self-denial to self-acceptance and change our relationship with our own body and pour them to our external environment in our relationships with others and the world.”

( For the O.V., please follow the link -> http://www.thetappingsolution.com/…/rejection-in-highly-se…/ )

Auto-dénigrement et maladie auto-immune

La sérendipité vous offre parfois la chance de tomber sur des perles. En voici une fraîchement trouvée.
Il s’agit de Carla M.Sodi ; thérapeute EFT mexicaine vivant à Queretaro et spécialisée dans les maladies auto-immunes, chroniques et dégénératives.
Elle pratique à travers le monde grâce à skype notamment. Mais ce qui m’a le plus touché, c’est un de ses articles que j’ai pris la peine de traduire pour vous.
Je trouve qu’elle exprime parfaitement bien le lien qu’il y a entre auto-dénigrement et maladie auto-immune. Je n’en dis pas plus et vous laisse entre ses mains mots qui racontent aussi ses « MAUX » à elle. Bonne lecture mes chères VitaMines.                ( Pour l’article original, suivez le guide → Rejection-in-Highly-Sensitive-People)

       Le sentiment de rejet chez les personnes hypersensibles.

Young Unhappy Woman, Rejection Of Bad Habits

Au travers de ma propre expérience et dans beaucoup de cas rencontrés chez mes clients souffrant de maladie auto-immune, j’ai constaté qu’il y a une relation entre le sentiment de rejet vécu lorsque nous étions enfants et notre façon de grandir ; la plupart d’entre nous attendions d’être aimés, respectés et choyés. Cependant, souvent, nous étions critiqués , jugés ou ignorés par nos parents, professeurs, frères et sœurs, grand-parents, membres de la famille, amis ou voisins. Nous entendions des commentaires du style :
« Qu’est ce qu’il t’arrive ? Tu es trop sensible. »
ou ; « Tu réagis comme un bébé ; arrêtes de pleurer !»
ou encore ;  « Tu ne supportes rien, tout t’affecte ! »

En général, en tant que personnes hypersensibles, nos réactions sont différentes parce que nous vivons les émotions avec plus d’intensité que les autres et donc nous pouvons ressentir plus de douleur, de désespoir ou de déceptions que la majorité des gens.
A la longue,  nous avons appris à cacher, observer et à écouter attentivement en recherchant des indices sur les personnes qui nous entourent, tentant de traduire leurs pensées, leurs expressions de visages, le ton et l’inflexion de la voix dans les phrases et les mots que nous entendons et nous devenons experts en détectant même le plus infime signe de désapprobation ou de rejet. Même si beaucoup d’entre nous interprétaient mal ces signes et signaux, nous sentions que nous étions jugés ou comparés et ces incompréhensions devinrent constantes dans nos pensées. Au final, cela a créé une fausse image de nous-mêmes.
On commence à se poser des questions :
« Qu’est ce qu’il ne va pas avec moi ? »
« Pourquoi ne suis-je pas assez bien ? »
« Qu’est ce que j’ai fait de mal cette fois ? »
On ressentait toute réaction négative de l’autre comme étant un test confirmant combien on était faible et déficient.
Nous recherchions à plaire et satisfaire à n’importe quel prix afin d’obtenir un peu d’approbation et se sentir accepté.

A la longue, toutes ces blessures d’enfances accumulées sont devenues des croyances de dénigrements qui enclenchèrent des réponses défensives à la fois intérieures et extérieures qui sculptaient notre relation à nous-même ainsi qu’au monde.
Les souffrances de rejet durant l’enfance ont créé une image tordue en nous, des croyances négatives et des modèles de comportements récurrents, nous faisant réagir envers les autres de façon disproportionnée, parfois très agressivement et également en attaquant notre corps par des critiques acides ou des habitudes nocives qui finalement conduisent à une attaque massive de nos anticorps contre nous-même provoquant l’apparition de symptômes, de douleurs inexplicables qui représentent nos vieilles blessures accumulées dans l’enfance et qui n’avaient jamais été soignées.

La pratique continue de l’EFT nous permet de commencer à reconnaître les différentes parts de nous que nous n’aimons pas ou n’acceptons pas.
Faire du « tapping » ( EFT) quotidiennement nous aide à arrêter tout ce rejet que nous ressentons envers nous-mêmes, crée de nouvelles façons de nous voir, nous permet de changer l’auto-dénigrement en acception ainsi que notre relation au corps et donc notre façon d’interagir avec les autres et le monde qui nous entoure. »